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 [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |

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Yoon Ki Suk
Yoon Ki Suk
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pseudo : Sukkie
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mood : It's good to be in love ♥
my heart is : En couple mais cela restera un secret, un doux secret qui ne peut que me rendre encore plus heureux ♥
wizard's spellbook : [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 2hwe5ts→ Aimer Yano.
Je l'aime tellement, tellement... Se cacher me fait souffrir mais pour notre bien, nous devons le faire, assurément...
→ Passer du temps avec Sachiko et enfin lui dire que je sors avec Yano en secret...


[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 9:35

tEn ce jour du 14 Février, un nouvel homme venait de naitre, un homme qui jusqu'à cette occasion n'avait pas eu de raison d'exister. Ki Suk montrait en cette nuit des traits caractères ô inconnues à son tendre aimé. Loin du jeune homme peu sûr de lui, un être peureux, un être qui fuyait à chaque instant le danger se trouvait un être décidé, sûr de lui, si masculin. Jamais Yano n'avait eu affaire à cet homme. Pour l'unique raison que le muneo était la première personne que Ki Suk désirait avec tant d'ardeurs, celui-ci désirait en cet instant faire partager à Yano tout le désir qui possédait son être. Chaque baiser, chaque caresse qu'il prodiguait sur le corps de son aimé n'existait que dans le seul but de transmettre sa passion à l'être qui faisait battre son cœur, qui réchauffait son corps à la moindre de ses caresses. Son corps était pris par un incroyable désir, un incroyable besoin de sentir le corps de son aimé contre le sien. Caressant cette peau désireuse d'attention, faisant glisser ses main sur son corps, déposant de nombreux baisers sur chaque partie découverte de son corps alors que désormais il se trouvait en position dominatrice. La vue du corps de Yano, étendu dans ses draps, était bien trop sensuelle pour qu'il reste de marbre, que son excitation ne s'accentue à chaque regard posé sur son corps. Le corps de son aimé se soulevait à chaque baiser, faisant rencontrer ses lèvres et la peau si tendre de son aimé, cette peau si musclé que sa langue venait sonder, redessiner chacun de ses muscles de son torse, de sa poitrine, le moindre bout de peau qu'il dévorait du regard. Le jeune homme quelque peu timide et peu sûr de lui avait depuis de nombreuses minutes disparus, un être décidé, confiant, était né. La seule chose qu'il souhaitait désormais à présent était de rendre fou, de rendre Yano esclave de ses attentions, le voir gémir sous ses doigts, qu'il ne devienne qu'une masse gémissante, qu'il réclame encore le contact de leurs corps, approfondir ce contact le plus longtemps possible. Ses quelques pensées firent apparaître quelques rougeurs sur son visage, non habitué à détenir de tels envies en son esprit. Ressentir de telles envie était tellement nouveau, presque gênant pour le jeune homme qui ne savait nullement s'il agissait tel que devait le faire un réel amant expérimenté. Il se laissait seulement guider par son plaisir, ayant dans l'espoir de répondre aux attente de son aimé et amant, il n'était qu'un novice, il craignait à tout moment de le faire souffrir dans une quelconque de ses attentions. C'était pourquoi il se voulait être doux et tendre dans chacune de ses caresses, de ses baisers.

Ses lèvres descendaient doucement au niveau de ses abdominaux, l'embrassant avec une passion certaine tandis que ses doigts venaient griffer la peau de yano, venaient griffer ses cuisses ô musclées. Soupirant de bien-être alors qu'il venait déposer ses lèvres sur l'entrejambe de son aimé, laissant échapper un doux râle, prononçant ses mots qui semblaient électriser son jeune amant. Sa main en cet instant avait délaissé ses cuisses pour venir s'occuper de l'intimité de son amant, effectuant de léger va et vient dans le but qu'elle prenne plus vigueur, que Yano devienne dépendante de ses caresses, que sur son visage apparaisse une expression d'extase, de pure bonheur. Les mots qu'ils venaient de prononce d'une voix suave était la réelle interprétation de ses pensées les plus secrètes, ces mots qu'ils n'avaient jamais osé prononcer jusqu'à ce jour. Yano était indéniablement la personne la plus désirable de ce bas monde, personne n'avait un corps si parfait, personne ne possédait ses courbes qui l'attiraient tant. Yano se rendait-il compte, qu'ainsi avachi, chaque partie de son corps semblait attiré le moindre regard et faisait naître en lui des pensées lubriques. Il souhait être l'unique personne à le voaitir ainsi, il en était persuadé, personne ne détenait le droit ne serait-ce que d'admirer ce corps, Yano lui appartenait de tout son être et il était devenu à présent la seule personne à pouvoir le toucher, le caresser, le voir dans cet état, si désirable. Quiconque qui s'approchait de son aimé risquait à présent de recevoir son courroux, aussi aimable pouvait être la personne, il souhaitait être seulement l'être qui obnubilait les pensées de son désormais petit ami et amant. Ainsi, il ferait en sorte que son amant ne l'oublie jamais et qu'il passe la nuit la plus inoubliable de leur courte vie, qu'il devienne dépendant à chaque instant de lui comme il l'était pour le jeune muneo. Ki Suk ne pouvait nullement songer à vivre désormais loin de l'être aimé, loin de l'être qui le rendait si fou de désir. Le regard qu'il lui lançait était en accord avec ses pensées, son regard brûlait littéralement le corps de son aimé, chaque courbe de son corps, chaque muscle.

Pour l'instant le muneo se contentait seulement de déposer des baisers innocents sur son intimités, si ce n'était en variant avec quelques coups de langues pour rendre pantois son tendre amant. Yano désirait que le muneo lui fasse l'amour, Ki Suk faisait alors en sorte d'être un amant exceptionnel à son niveau, pour un novice qui découvrait l'amour pour la première fois de sa vie. S'il se contentait de ses simples caresses c'était dans le seul but d'entendre supplier son aimé, entendre sa voix ô suave lui demander de continuer et d'approfondir ces baisers pour enfin le prendre en bouche. Ce qu'il fit quelques instants plus tard, heureux d'entendre les suppliques électrisant de son aimé. Voir Yano si dominé, si dépendant de lui était incroyablement captivant. Il vint alors l'embrasser plus fermement, continuant à effectuer de doux va et vient sur son intimité, accentuant ses baisers alors que son aimé laissait échapper de douces plaintes. Entendre ses suppliques étaient si enivrant, tout autant que sentir les doigts se mêlaient à ses cheveux, Yano voulait qu'il le dévore, Ki Suk le ferait alors avec un plaisir certain, souhaitant encore voir et entendre la folie qui traversait le corps de sa tendre victime. Souriant, il vint alors enfin prendre entièrement son entrejambe entre ses lèvres, sa langue venant rencontrer pour la réelle première fois cette partie de son corps, d'une manière hésitante sans aucun doute et maladroite. Il n'était qu'un novice même s'il essayait de faire de son mieux, ce qui semblait être le cas étant donné les doux gémissements qui sortaient de la bouche de son amant, qui ne retenaient plus ceux-ci, gémissant son nom encore et encore, agrippant entre ses doigts sa chevelure. Voir Yano dans un tel était ne faisait qu'accentuer son désir, malgré ses maladresse, celui-ci se trouvait être dans un état ô désirable qui ne lui donnait qu'une envie, celle d'enfin faire l'amour à l'homme qu'il aimait, l'homme qui s'était offert à lui en cette nuit. Soupirant à son tour, il vint accélérer doucement ses va et vient, faisant passer sa main sur son intimité avec plus de rapidité, pour raffermir celle-ci alors que Yano faisait rencontrer leurs deux corps plus franchement, quémandant encore plus de contacts.

Le muneo concentré sur sa tâche ne remarqua nullement que son aimé avait quelque peu bougé, tirant le tiroir de sa table de chevet pour déposer sur le lit un flacon de lubrifiant et des préservatifs. Ce fut les paroles ô suaves de son aimé qui le fit relever les yeux quelques instants, la vue qui lui offrait Yano était si excitante, gémissant ne demandant qu'une chose, qu'il lui fasse l'amour, qu'il souhaitait jouir avec lui, le sentant en lui. Les derniers mots ne purent qu'accentuer son plaisir actuel, il lui demandait de le préparer à le recevoir. Il ne put que gémir à ces propos, il allait enfin pouvoir aimer son Yano, aimer comme jamais il n'avait aimer quiconque. Délaissant alors son intimité, il se releva quelques instants pour venir embrasser la nuque de son aimé avant de lancer un regard ô séducteur à son aimé « Oui... enfin faisons l'amour... j'ai tellement envie de te voir perdu dans ce plaisir sans fin... mon amour... je veux découvrir ce plaisir à tes côtés... et je ferais de mon mieux pour que tu nous souffres pas... même si je sais que je risque d'être maladroit.... j'ai tellement envie de toi mon Yano... tu es si exquis. » Il termina ses mots laissant de légères marques de morsures sur sa nuque, retenant un doux gémissement alors que leurs intimités se rencontraient à nouveau.

A l'aide de sa main gauche il vint attraper le flacon de lubrifiant pour le poser à côté de lui, alors qu'il re-déposait des baisers sur le corps de son aimant, descendant progressivement de sa nuque jusqu'à de nouveau arrivait face à son entrejambe, ne délaissant aucune partie de son corps. La peau de son aimé était tellement désirable, quelques gouttes de transpirations s'écoulaient sur celle-ci, ne rendant la vue que plus excitante. N'hésitant pas cette fois-ci, il reprit entre ses lèvres l'intimité de son aimé, effectuant à l'aide de sa main des va et vient pour rendre son aimé encore plus fou de lui, sa langue venait rencontrer son intimité, avec plus de vigueurs. De sa main libre, le muneo rapprocha le flacon, et avec toute la force qu'il détenait, il vint l'ouvrir avec ses doigts alors qu'il effectuait des va et vient plus fort sur l'intimité de son amant. L'embrassant encore avec passion, il étala un peu de gel intime sur ses doigts avant se diriger ses doigts vers son anus, sa main délaissa alors son entrejambe et ainsi, il caressa ses fesses musclées pour essayer de le détendre et calmer ses propres angoisses. Il avait tellement peur de le faire souffrir, tellement peur qu'il ne ressente que de la douleur malgré qu'il lui dise qu'il voulait l'avoir en lui. Les premières fois pouvaient se trouver être si douloureuses. Ce fut donc en essayant de donner le plus de plaisir au travers de cette fellation, prenant en vigueur son intimité, qu'il reprenait entre ses doigts un peu de lubrifiant pour venir l'étaler sur le bout de ses doigts, et le déposer à l'entrée de son anus. Sans doute avec maladresse mais en essayant de ne pas paniquer, il vint doucement faire entrer un de ses doigts en Yano. Ce fut donc avec une certaine peur de le faire souffrir, qu'il commença doucement à mouver ses doigts en lui, tandis qu'il le trouvait si serré. En cet instant même, il ne regrettait pas de ne pas être à la place de Yano, égoïstement certainement mais les premières minutes à supporter ce corps étranger devait être synonymes de souffrances. Aimant alors, il fit de son mieux pour que Yano oublie cette douleur qui devait traverser une partie de son corps, prodiguant encore de doux va-et-vient sur son intimité avec sa langue et sa bouche. Ne sachant nullement s'il fallait continuer ou non, il arrêta son action quelques instant alors qu'il lançait un regard interrogateur à son amant qui lui sourit malgré la douleur, ce qui le rassura quelques instants avant de faire entrer un second doigt toujours enduit de lubrifiant, effectuant quelques mouvements dans le but de tenter de faire partager à son aimé le plaisir, il fallait qu'il trouve la prostate du jeune homme ne serait-ce que pour que la douleur laisse place à l'extase.

Ce fut alors d'un voix quelque peu inquiète qu'il prit la parole, tandis qu'il délaissait quelques secondes l'intimité du jeune homme « Yano … si jamais... tu souffres trop... tu me le diras ? Je ne veux pas... te voir souffrir....  et s'il faut vraiment... j'arrêterai...» Ses mots mirent un certain temps à être prononcé tant le muneo se trouvait perturbé par la douleur que Yano pourrait ressentir au moment fatidique. Et s'il fallait vraiment mettre son désir de côté, quitte à être frustré il le ferait... même si cela pouvait lui paraître tellement difficile étant donné son état actuel, il ne désirait que posséder ce corps qui le demandait.
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Wada Yano
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 2ms2atz
Ma vie ne m’a jamais semblée être si merveilleuse à ses côtés. Malgré tout ce qu’il se passe en dehors des frontières de l’école et ce suicide commis par deux de nos professeurs, je n’arrive pas à descendre de ce nuage de joie qui me retient prisonnier de ces bras. La raison ? Je la connais plus que tout au monde car je vis le bonheur le plus total, mon doux et tendre Ki Suk. Jamais encore je n’avais cru que je pourrais être si heureux malgré qu’une de mes amies les plus chères à quitté l’école depuis peu sans me laisser la possibilité de garder contact avec elle. J’espère que tout ira bien pour toi Jade et qu’on se reverra un jour. En tout cas ça sera un plaisir pour moi. J’aurai tellement voulu lui expliquer pourquoi nous avons rompu, être enfin honnête avec elle sur cette rupture. Dans tous les cas, je suis désormais amoureux de cet homme et bien que nous devions gardés notre relation secrète pour le moment tant que je n’ai pas réglé quelques détails envers ma famille et ma « fiancée », je veux être le seul à pouvoir le rendre heureux. Jusqu’à ce jour où je pourrais l’embrasser lorsque je le souhaite sans prendre la moindre précaution, crainte, je tâcherais de provoquer des occasions où nous pourrons nous voir. C’est pour cela qu’il faut que je trouve rapidement du temps pour voir Aika, ainsi qu’Eichi et surtout du temps pour parler à Sun Hee. Je crois qu’il est urgent que je leur fasse part de toute cette histoire ainsi que des possibles conséquences sur leur vie. Je veux au moins être loyal avec eux et ne pas les abandonner sans le moindre respect. J’espère qu’ils pourront me pardonner cet égoïsme de ma part car rien au monde ne pourra me faire changer d’avis. Je ne veux et désire que vivre à ces côtés.
[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 2hwe5ts


[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 _
MessageSujet: Re: [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |   [N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk | - Page 2 Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 13:03

Jamais jusqu’à ce jour, il n’avait connu un bien être aussi complet, aussi déchirant et aussi planant. Il avait l’impression qu’à chaque seconde qui s’écoulait son cœur pouvait à tout instant lâcher prise tellement il battait si frénétiquement dans sa poitrine. Ce cœur était résolument devenu une bombe à retardement qui ne faisait que lancer des signaux d’alerte alors qu’il se laissait gagner par une passion sans nom. Une passion qu’il était résolument incapable de maitriser tellement son corps semblait avide de contacts, de ressentir de tels frisons de bien être auprès de la personne qui était résolument la responsable de son état de fébrilité, Ki Suk. La température ambiante de la pièce, qui se voulait être convenable, lui donnait désormais l’impression d’être aussi brulante que la braise, que l’enfer mais à ses yeux, il avait tout simplement l’impression d’être au paradis. Qu’importe le lieu, le moment, il ne pouvait être qu’au paradis du moment qu’il se trouvait auprès de cet homme qui semblait lui faire connaitre pour la première fois, le bonheur d’être aimé, d’aimé. Yano, qui avait toujours cru avoir aimé passionnément sa première amie, se retrouvait alors dans un état qui le dépassait complètement. Il avait à l’impression qu’à tout instant, il pouvait se consumer prit au piège de ces flammes de désirs et de passion qui étaient résolument en train de lui dévorer les entrailles. Le désir sexuel, l’acte en lui-même n’avait pourtant pas de secrets pour lui et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de penser que ce qu’il ressentait à l’heure actuelle, lui semblait alors tellement inconnu. Ce moment qu’il était en train de partager avec son ange, qui se trouvait être son petit ami et désormais futur amant, semblait tellement différent de tous ceux qu’il avait connu dans les bras d’une autre personne. Il avait déjà ressenti un plaisir certain dans les bras de ses femmes qui l’avaient caressé du bout de leurs si fins doigts, n’hésitant pas parfois à marquer sa peau mais il n’avait jamais autant brulé que sous les doigts, les lèvres et gestes de cet homme qui le rendait tout simplement ivre d’envie. A chaque susurre, caresse, baiser, son corps n’était que la proie destinée à ressentir des frisons de bien être, de désir toujours plus puissant, comme s’il était quasiment impossible d’atteindre une certaine limite. Plus Ki Suk le touchait, plus il le désirait dans tous les sens du terme. S’il en avait la possibilité, Il pourrait passer toute sa vie ainsi caressé, cajolé par les mains parfois si maladroites du jeune homme qui découvrait pour la première fois grâce à lui, la luxure totale qu’on ne pouvait qu’expérimenter qu’avec la personne dont on était follement éprit. Rien que l’idée de savoir qu’il était le premier à découvrir une facette si différente du jeune préfet était résolument un trésor qu’il désirait plus que tout conservait et chérir de tout son cœur.

La luxure était résolument un péché mais à ses yeux cela ne pouvait pas en être vraiment un, si on l’exerçait avec l’être qu’on aimait et désirait du plus profond de son cœur. Il ne pouvait alors avoir aucune honte de faire l’amour avec cette personne, cet acte n’étant pour lui qu’un moyen que les hommes avaient à leur disposition pour faire partager toute l’ampleur de leur sentiment à la personne qu’ils aimaient. Et il était plus qu’évidant que Yano avait commencé à le désirait avant de prendre conscience de l’ampleur de ses sentiments. C’est pour cela qu’il n’avait aucune honte, ni remord d’être si honnête avec tous les tourments de plaisir qui étaient résolument en train de faire de lui, leur prisonnier. Il n’était alors désormais que le prisonnier de son désir, de cet ange qui lui faisait découvrir alors de sensation qu’il n’avait jamais ressenti avec une telle fougue, un tel plaisir monstre. Si Ki Suk n’avait pas conscience de son pouvoir de séduction, des frisons qu’il était capable de tirer de son échine qui lui servait de son corps, il en était tout autant pour Yano qui était résolument incapable de penser si son corps pouvait rendre complètement l’être qui le rendait tout simplement ivre de passion, de désir. C’était tellement planant, exquis de sentir sa main sur son intimité exerçait des mouvements de vas et vient prodigués dans le seul but de le rendre encore plus pantois et exprimer de façon si sincère et sans aucune honte ses gémissements qui étaient le qu’un moyen de prouver ô combien il appréciait ces caresses. Il ne pouvait qu’apprécier ces gestes, le dévorant du regard alors qu’il lui offrait tout simplement une vue à rendre dingue l’homme le plus chaste du monde, ce qu’il n’était résolument pas. Ki Suk était si érotique, si sensuellement quelque peu maladroit par moment mais pourtant si déterminé à lui apportait un plaisir qu’il voulait être le seul à pouvoir lui faire vivre. Ces gestes se trouvaient être si exquis, si enivrant alors qu’il ne pouvait que geindre de plaisir à chaque coup de langue qu’il recevait sur cette virilité qui semblait être si bien lotit au creux de ces lèvres qui avaient toujours été à ces yeux, son plus grand point faible. Durant tant d’années, il avait désiré secrètement les baiser, le sentir parcourir sa peau, qu’imaginer qu’elle retenait prisonnière cette virilité entre celles-ci étaient résolument un merveilleux moyen de le rendre dingue. D’autant plus qu’il le voyait tout simplement s’appliquer pour le faire si merveilleusement bien, ne pouvant alors que se sentir encore plus excité, pantois. Sentir cette bouche se mouvoir sur son intimité qui ne cessait qu’être ainsi solliciter que ce soit cette langue ou cette main, qui étaient résolument déterminer à le faire râler de désir, était résolument un bonheur qu’il ne souhaitait nullement être privé désormais qu’il y avait gouté.

Cependant tout cela avait été suffisant pour le rendre tout simplement avide d’encore plus de contacts intimes alors que son corps semblait tout simplement incontrôlable, n’hésitant plus à venir réclamer ces caresses qu’il désirait. Alors il se déhanchait, n’hésitant pas à griffer ce cuir chevelu pour que le jeune homme ne cesse en aucune façon ses attentions si extraordinaires. Il avait tellement envie de lui, tellement envie de se sentir désormais aimé par cet homme, lui faire connaitre le bonheur de l’extase tout simplement et surtout il désirait que cela se fasse dans la tendresse, la passion la plus débordante. Mais pour cela, il savait qu’il allait devoir souffrir et inconsciemment alors qu’il lui avait susurré sa demande, du moins supplication de cette voix si suave prit par un plaisir indéfinissable, il commençait à se contracter. Après tout, il n’avait aucune raison de s’inquiéter de ce qu’il allait arriver puisqu’il l’avait lui-même décidé mais désormais que ce moment s’approcher, il avait sincèrement peur d’avoir mal, horriblement mal et qu’il ne puisse point le camoufler. Ki Suk était résolument un jeune homme bien trop doux, attentionné et aimant pour accepter en son âme et conscience de le blesser. Non, si jamais il montrait un quelconque signe de douleur ou de souffrance, il savait que Ki Suk réprimerait ses envies, son désir de le posséder bien qu’ils se trouvaient tous les deux dans le même état. Une chose qu’il ne souhaitait nullement, pas après qu’il ait passé tant de nuits à rêver de ce corps, de sentir enfin leur corps ne faire qu’un. Non, il voulait son Ki Suk et c’était surement une chose sur laquelle il ne voulait pas revenir. Qu’importe le temps de préparation que cela allait nécessiter, il voulait plus que tout, lui offrir son corps, sa première fois avec un homme, à défaut de pouvoir lui offrir une autre première fois qu’il ne possédait pas. Puis, il voulait être le premier amant de cet ange qui venait de relâcher sa virilité, le laissant tout simplement et horriblement frustré. Il ne pu alors s’empêcher de gémir de frustration alors qu’il sentait le souffle lui manquait horriblement, sa poitrine se soulevant difficilement prisonnier des cages de cette passion qui faisait de lui, un tout autre homme. C’est donc avec un plaisir non dissimulé, qu’il ferma délicatement les yeux en sentant le souffle si brulant de son amant venir frôler sa nuque, l’embrassant avec fougue, qui fit naitre en lui des gémissements de bonheur à ce contact ainsi de nouveau établi. Il ouvrir alors de nouveau ses paupières et ne pu s’empêcher de déglutir en voyant le regard ô séduisant de son amant qui lui lançait à l’oreille qu’ils allaient enfin pouvoir faire l’amour, qu’il avait tellement envie de le voir perdu dans ce plaisir sans fin. Il avouait qu’il voulait découvrir ce plaisir à ses côtés et qu’il ferait de son mieux pour qu’il ne souffre pas. A ses mots, il ne pu s’empêcher de sourire tendrement en se disant qu’il le connaissait que trop et cela ne pouvait que le rendre d’autant plus heureux de l’avoir pour premier amant masculin. Cela faisait tant de temps qu’il rêvait de cet instant alors qu’importe si celui-ci se trouvait bien maladroit, s’il le fallait il prendrait de nouveau le contrôle de leurs ébats, Ki suk n’avait pas à avoir peur de lui faire du mal. Pour vivre ce bien être à ces côtés, il voulait bien souffrir quelques minutes, quelques fois à partir du moment que Ki Suk découvrait tout ceci à ses côtés. Comment refusait cela alors qu’il lui avouait qu’il avait tellement envie de lui, il ne pourrait jamais se le pardonner d’avoir laissé une douleur naturelle mettre un terme à ce moment si exquis, si transcendant de bonheur. Souhaitant rassurer son amant, il se contenta seulement de susurrer à son tour avec cette même voix si suave qu’il ne pouvait contenir, alors qu’il sentait ces lèvres venir lui mordre la peau si simplement : « mm... Moi aussi, je le veux tellement… Mon amour… ça ira ne t’inquiète pas !... Fais-toi confiance… seulement. »

Bien qu’un peu stressé par ce qui allait arriver, il se décida de ne pas penser à la douleur qui allait sans doute montrer le bout de son nez et préféra se concentrer sur les frisons que les lèvres du jeune homme procuré à son corps alors que leurs intimités se rencontrèrent un coup instant, le faisant frissonner d’ivresse et de désir. Sentir les lèvres du jeune homme caresser chaque partie de son corps était résolument un sentiment des plus incroyablement alors qu’il fermait les paupières pour sentir son corps venir réclamer ces attentions tant aimées. Ses lèvres laissaient alors exprimer d’exquis gémissements alors qu’il susurrait le doux prénom de son amant qui lui apportant tant de plaisir. Lorsqu’il sentit de nouveau la main du jeune homme entrer au contact de son intimité, ainsi que ses lèvres le dévorer de nouveau, il serra du bout des doigts le drap en penchant la tête en arrière dans un râle. C’était si bon de sentir son intimité au creux de ses lèvres, si jouissif mais bien que cela fût suffisant pour lui faire perdre littéralement la tête, il s’obligea à garder contenance bien qu’il était difficile pour lui de contenir cette excitation qui se faisait si pressante au creux de ses reins. C’est donc lorsqu’il sentit le liquide frais frôler sa peau alors que le jeune homme dirigeait ainsi ses doigts vers son orifice qu’il se sentit se contracter malgré lui alors que cette main qui lui apportait tant de plaisir venait caresser la peau si ferme de ses fesses. Non, il ne devait point penser à la plausible douleur, seulement à cette bouche qui lui caressait si sensuellement l’intimité, tout comme cette main qui semblait le couvrir de toute son attention. Cependant lorsqu’il sentit le doigt du jeune homme s’insinuer dans son anus, il ne put s’empêcher de se contracter, bloquant ainsi sa respiration.

C’était si étrange de sentir un corps étranger pénétrer dans son corps et bien que la douleur se voulait être violente, il se retint de tout gémissement de douleur, se mordant alors les lèvres. Fermant encore plus fortement les yeux, il s’intima de se concentrer que sur le plaisir que son ange lui apportait et après quelques secondes d’adaptation, il parvint à faire abstraction de toute cette douleur qui n’était que les prémices de ce qui allait arriver. Prenant alors doucement de nouveau son souffle, il sentit ce corps étranger se mouvoir en lui alors qu’il frissonnait en même des caresses qu’il prodiguait à son intimité toujours aussi dure malgré cette douleur. Lorsqu’il rouvrit doucement les yeux et rencontra le regard si inquiet de son ange, il se contenta seulement de le rassurer d’un sourire en murmurant. « Ça va aller, ne t’inquiète pas… Je dois juste m’y habituer… Seulement… »

Oui, il fallait juste attendre que son corps ne s’habitue à cette intrusion et une fois cela fait, ça deviendrait surement plus supportable, il en était intimement persuadé. A ses mots, il sentit alors un second doigt se mouvoir en lui alors qu’il levait les yeux au ciel pour tenter de garder cette douleur muette. C’est donc tout naturellement qu’il baissa de nouveau son regard sur son ange qui semblait tant s’appliquer pour être le plus tendre avec lui. Il glissa alors doucement ses doigts dans la chevelure du jeune homme et lui caressa tendrement les cheveux alors qu’il sentait son intimité tant titillé venir peu à peu surpassé la douleur qu’il vivait. C’est donc un gémissement mi douloureux et de bien être qui s’extirpa de ses lèvres alors qu’il le sentait introduire un second doigt en lui venant alors élargir son anus pour permettre la future pénétration. Une pénétration qu’il redoutait sans pour autant ressentir l’envie d’y échapper. Il le voulait en lui et ça il en était sur alors lorsqu’il le senti délaisser son intimité pour lui murmurer que si jamais il souffrait trop, il devait lui dire, qu’il ne voulait pas le voir souffrir et qu’il fallait vraiment, il était disposé à s’arrêter, quitte à se frustrer comme jamais.

Rien qu’à l’expression de son regard et la façon dont il avait de les murmurer, il savait que son amant était pétrifié par l’idée de lui faire le moindre mal. C’est donc avec tendresse qu’il fit glisser ses doigts sur son visage pour le caresser alors qu’il lui demandait muettement de revenir à sa hauteur en lui relevant doucement le visage. Le voyant alors délaissé et stopper tout geste de préparation, il le regarda avec tendresse et en mouvant ses doigts sur sa nuque, il l’intima à se reprocher de ses lèvres. C’est donc avec une tendresse des plus passionnées qu’il prit possession de ses lèvres une nouvelle fois. Laissant leurs langues se rencontrer de nouveau, il glissa ses mains autour du corps nu du jeune homme pour en faire son prisonnier, renversant de nouveau la situation alors qu’il l’obligeait à se longer de nouveau à sa place. Non, il préférait mourir ou souffrir que d’arrêter alors qu’ils étaient si prêts du but. Qu’était-ce qu’un peu de douleur en fin de compte par rapport à tout ce plaisir monstre qu’il pouvait recevoir à ses côtés ? Rien, n’est ce pas ? Si Ki Suk avait bien trop peur de le préparer en lui faisant mal, il allait s’en occuper, se préparer lui-même, quitte à se faire souffrir sous le regard de son ange. Il le désirait tellement s’il pouvait en prendre seulement conscience, Ki Suk n’aurait jamais prononcé de telles paroles aussi douces et adorables l’étaient-elles à ses yeux. Relâchant ses lèvres alors qu’il le surplombait de nouveau en pressant son corps contre le sien, il lui caressa doucement le visage, le dévorant tout simplement du regard.

« Je t’aime et te désire tellement mon amour, qu’importe si pour cela je dois souffrir, qu’importe si ce n’est pas agréable au début pour moi, je te veux… et je t’aurais… Quitte à ce que tu désapprouves mon geste, mon amour. Je ne peux plus m’arrêter, je t’aime tellement. »

Il avait susurrer ses mots avec une telle tendresse et une telle conviction qu’il était résolument déterminé à ne pas donner la possibilité à Ki Suk de réprimander ce qu’il était sur le point de faire. C’est donc sans ajouter d’autres mots qu’il se releva doucement avec sensualité et prit dans ses mains son bas de pyjamas. Venant alors baiser de nouveau les lèvres de son amant, il fit mouvoir ses reins contre les siens et se laissa gagner de nouveau par ce bien être qui faisait de lui son prisonnier à tout jamais. C’est donc en continuant de l’embrasser qu’il fit mouvoir ses mains sur les poignets de son amour pour les porter à la tête du lit venant alors les attacher grâce au tissu de son bas. Il n’avait aucune idée de ce qu’allait penser son ange mais il était résolument déterminer à aller au bout quitte à se faire du mal. Délaissant ses lèvres, il ajouta seulement. « Fais moi confiance, mon amour, je serai sous peu prêt à te recevoir. »

Il avait pleinement conscience que ses mots étaient incroyablement pervers comme ce qui allait arriver mais c’était le seul moyen qu’il disposait désormais pour faire de cette nuit, la plus merveilleuse pour eux deux. C’est donc dans un dernier baiser, qu’il attrapa rapidement le pot de lubrifiant pour s’en appliquer sur les doigts de sa main gauche, qu’il dirigea sans aucune hésitation vers son orifice fermant alors les yeux en faisant pénétrer celui-ci en lui. Se sentant tout simplement bruler de l’intérieur par l’idée qu’il devait absolument supporter cette douleur pour pouvoir faire découvrir à son ange le bonheur de pénétrer une autre personne, il plongea un second doigt puis un troisième, se mordant alors les lèvres qu’il stimulait lui-même son intimité de ses doigts, offrant sans doute un spectacle des plus frustrants et des plus exaltants à son amant sans en prendre réellement conscience. La douleur semblait peu à peu s’estomper alors qu’il mouvait ses doigts en lui, sans pour autant disparaitre mais elle était plus supportable et lorsqu’il pu enfin gémir doucement en titillant si frénétiquement son intimité et frôlant du bout des doigts sa prostate, qu’il su que c’était l’instant ou jamais s’il voulait poursuivre.

C’est donc en retirant délicatement ses doigts de son intimité qu’il ouvrit de nouveau les yeux en se mordant les yeux à cette vue si érotique de son ange longé sous lui, prisonnier à la tête de son lit. « Tu es si beau, érotique, exquis mon amour…mm… » Susurra-t-il dans une voix si rauque, si suave. Prenant doucement la protection entre ses doigts encore emballée, il l’ouvrir délicatement alors que de son autre mien, il fit doucement ses doigts sur l’intimité de son amant, prisonnier, la caressant avec tendresse pour vérifier si elle était toujours tendu, n’hésitant pas cette fois ci à l’embrasser du bout de ses lèvres. Il ne pu s’empêcher de sourire doucement alors qu’il lui lançait un regard extrêmement doux, si tendre alors qu’il envelopper cette virilité de ce film en latex qui annonçait que le moment tant attendu se rapprocher à grand pas. Sans un mot, il fit doucement glisser son intimité sur celle-ci alors que ses lèvres et ses mains venaient caresser la peau de ce corps qu’il désirait tellement sentir en lui, ne former qu’un seul être avec elle. C’est donc avec tendresse et passion qu’il fit glisser ses lèvres sur son torse, laissant le titiller avec sa langue, venant nicher son visage contre cette nuque qu’il embrassait avec fougue et passion. Il lui murmura alors ô combien il était fou de lui, de son corps alors qu’il venait glisser l’intimité entre ses cuisses pour le présenter à son anus, les laissant alors se rencontrer seulement sans oser aucune pénétration. Il se contenta de ce petit moment de suspens de sensualité puis en venant lui voler un doux baiser, il murmura entre deux baisers. « Fais-moi enfin l’amour, mon Ki Suk… Ne penses désormais qu’à ton plaisir… Car c’est ce que je le souhaite. Ça me suffit déjà tellement de te voir si magnifique et excité par mon corps ainsi. »

Souriant avec tendresse, il glissa doucement ses mains sur sa nuque pour l’embrasser de nouveau avec passion et fougue, alors qu’il descendait avec délicatesse son bassin contre le sien, faisant enfin rencontrer l’intimité du jeune homme avec son corps s’obligeant alors à ne penser qu’au bonheur qu’il devait ressentir de se sentir posséder par son ange. Oui, il ne devait penser qu’à cela.
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[N.C-18] When gestures are merely declarations of love... Partie 2 | PV Yoon Ki Suk |

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