Annyeong ! je me nomme Yamada Ren, je suis né un 28/02/1991, j'ai 19 ans et je suis de nationalité japonaise, ce qui fait que je suis actuellement en quatrième année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang pur et je suis hétérosexuel. Mon animal de compagnie, c'est un bébé furet et ma baguette est en bois d'olivier. Elle mesure 34 cm et contient un ventricule de coeur de dragon.. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est Qu'importe - par contre, je vous supplierais d'éviter Ineo ? ! Et dans la vie, j'aimerais être Médicomage. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Les sirènes étaient surement les créatures les plus craintes et à la fois respectées du monde magique. Ren les connait surtout comme les créatures les plus dangereuses qui soient pour les être humains. Combien d’hommes étaient tombés entre leurs mains face à leurs chants si envoutants ? Bien que l’idée d’avoir la possibilité d’entendre de telles voix s’élever dans les airs, interpréter le véritable sens de celles-ci était tentant pour un passionné de musique tel que lui, il n’avait alors jamais tenté l’expérience. Par peur ? Résolument pas. Il n’était pas le genre de personne à avoir peur de quoique ce soit, il avait toujours tendance à garder son calme au point de paraitre parfois insensible envers toute chose. Cependant dans le cas présent, il n’avait jamais expérimenté la chose, par intelligence. Il fallait être totalement fou ou déraisonné pour se déplacer près du lac sans se jeter un sort qui enlever l’ouïe. Malheureusement, l’être qui hante ses pensées ne semble pas connaitre le danger que représentent ces êtres de l’eau et se retrouve donc prisonnières de celles-ci, non même pire que cela, elle risque d’être le repas de toute la communauté. En temps normal et s’il ne s’agissait pas d’une personne à laquelle il tient, il aurait surement juste utilisé un sort pour faire diversion et donner la possibilité à cette dite personne de se défendre elle-même. Après tout, tout digne sorcier devait être capable de s’en sortir de ses propres moyens, dès lors qu’il recevait un peu d’aide. Du moins, c’était son point de vue sur la question. Aider une personne dans le besoin, il y consentait avec plus ou moins du plaisir, préférant utiliser plus le terme de devoir. Après tout s’il laissait la personne mourir sous ses yeux sans l’aider un minimum, ça serait un crime pour non assistance à personne en danger et bien qu’il soit quelque peu détaché de tout en temps normal, un peu trop dans son petit monde, il en restait pas moins un garçon intègre. Forte heureusement pour elle ou pour lui, il n’avait pas besoin de réfléchir bien longtemps à ce qu’il devait faire ou ne pas faire car son cœur tranchait décidément pour lui. Comment supporter qu’on lui arrache des bras, la personne pour qui son cœur, si meurtri par les événements de sa vie, battait si violement dans sa poitrine ? Comment songer un seul instant qu’il risquait à tout instant de ne plus connaitre cette impression d’être si vivant alors qu’il avait l’impression que son âme mourrait à petit feu en temps normal ? Même si sa raison lui aurait intimé autre chose, il n’aurait pu agir autrement. N’ayant aucune crainte si ce n’est d’être séparée de cette dite personne, le jeune homme sans même réfléchir, se jetterait un sort pour devenir sourd le temps de quelques instants et s’élancerait à la hauteur de ses créatures. Sorcier depuis toujours et ayant suivit une éducation des plus strictes auprès de ses grands parents paternels, le jeune homme possédait toutes les caractéristiques nécessaires à un bon auror : réactivité, connaissance et matrice. Sans perdre un seul instant, il lancerait alors un sort de désillusion sur ces charmantes créatures avant de prendre le bras de sa dulcinée pour l’amener à toute vitesse loin de celles-ci. Si le sort ne fonctionnait pas, il utiliserait alors le sort de stupefixation autant de fois qu’il le faudrait pour accéder à son amie. Se souvenant parfaitement que ses créatures sont connues pour être rancunière tout comme lui, il lancerait surement un sort d’amnésie partielle sur celles-ci afin d’assurer ses arrières avant de laisser la jeune fille s’enfuir de ses bras reprenant son attitude nonchalante en lui faisant la morale sans le faire vraiment, comme toujours.

2. Choix A. Le jeune homme est quelqu’un qui aime beaucoup faire la fête, essentiellement parce que cela lui permet toujours de se vider la tête de toutes ses pensées noires qui occupent ses pensées jour et nuit. Il est loin d’être un garçon tourmenté, dépressif, quoique ça lui arrive de l’être mais il doit reconnaitre que les différents événements de sa vie ont fait qu’il a un besoin fou de se vider la tête au moins une fois par semaine. Étant difficile de trouver quelconque instrument autre que sa guitare dans toute l’école, il aime se rendre à Atlantis lors des soirées étudiantes pour se laisser enivrer par le doux son mélodieux de la musique qui y passe alors qu’il aide son corps à se vider de tout tourment en buvant un verre d’alcool facilement eu grâce à l’une de ses connaissances voir à son physique mature pour un jeune homme de son âge. Bref ce n’est pas le genre de jeune homme à cracher sur une bonne petite soirée pour fêter quoique ce soit et ce même s’il y a un examen le lendemain. Après tout, n’est-il pas connu pour être une encyclopédie vivante ? Assurément, il retient tout, que ce soit de ce qu’il y a écrit sur les manuels de l’école jusqu’aux ragots qui circulent dans toute l’école, le jeune homme ne peut l’oublier. Tout cela peut se révéler être éreintant parfois pour son pauvre cerveau mais il s’en plaint pas, après tout, ça lui permet de profiter de sa jeunesse sans crainte et ça lui donne la possibilité de se concentrer sur son but initial. Seulement ce soir, il s’est peut être trop laissé aller à faire la fête, à boire, à flirter avec de belles demoiselles qui semblaient le trouver à son gout, après tout il peut être tellement séducteur lorsqu’il le souhaite…Enfin surtout lorsqu’il a deux ou trois verres dans le nez surtout mais passons. Il se retrouve donc à cette heure tardive face au gardien de l’école qui refuse de le laisser rentrer. C’est bien sa veine…Le fixant de son air fier et froid, il se contenterait seulement de rester droit et avouerait son crime. « J'avoue que j’ai peut être fais la fête un peut trop, ce soir mais est ce vraiment digne pour un responsable tel que vous, qui avez à votre charge ma sécurité de me laisser dehors alors que je suis si vulnérable ? Imaginez ce qu’il risquerait de se passer s’il m’arrivait quelque chose, parce que n’ayant pu avoir accès au périmètre de l’école, je me suis fais agressé ou blessé ? ça serait juste les prémices d’un horrible déchainement médiatique et juridique…Autant nous épargnez tous les deux de tels soucis, non ? Je consens même à accepter toute punition pour avoir déroger au règlement. » Dirait-il surement sur un ton calme, posé et franc. Bien qu’on puisse prendre ses mots pour une menace, ils ne seraient au fond que le résultat d’un raisonnement vite fait préparé dans son esprit. Si même après cela, le gardien lui refuse l’accès, il se contenterait surement de s’incliner devant lui, rebroussant chemin pour trouver une chambre d’hôtel pour y passer une nuit paisible avant le dit examen.

3. Dormir, est surement une chose qu’il a du mal à faire. Sa tête étant constamment traversés par différents tourments d’origine diverses, il a du mal à trouver le sommeil en général. Il peut donc facilement se retrouver insomniaque lorsqu’il a reçu la lettre mensuelle de ses parents. Chaque famille a un fardeau plus ou moins difficile à porter sur ses épaules. Bien que cela puisse être étrange à dire, au fil des années il est devenu celui de sa famille et il sent bien toujours à travers les lignes de ces lettres qu’il l’est encore maintenant. Alors lorsque cela arrive, il a besoin d’écouter de la musique, ou plutôt de la produire. Par respect pour ses camarades, il lui arrive donc de vagabonder dans les couloirs de l’école à la recherche d’un coin assez isolé pour jouer tranquillement de sa guitare qu’il a pratiquement toujours sur lui, sans pour autant en jouer en public. La musique est devenue avec le temps, une sorte de thérapie dont il ne peut se passer et dont il a constamment besoin où qu’il aille. Seulement ce soir, manque de chance, il tombe sur l’un de ses professeurs qui arrive à grands pas vers lui. Même si cela n’est pas vraiment des plus corrects, il se collerait surement au coin d’un couloir et préparerait sa baguette. Se faire prendre la main dans le sac ? Très peu pour lui et puis de toute façon, il n’a pas le choix, il ne pourra pas se calmer tant qu’il n’aura pas gratté son instrument. Lorsqu’il la verrait apparaitre à sa hauteur, il lui jetterait alors le sort d’amnésie partielle avant de déguerpir sans demander son reste vers le lieu, son endroit à lui, où il est sur de ne pas être dérangé. En espérant qu’au retour il ne la croisera pas au pire des cas, un nouveau sort et il rentrera à son dortoir.

4. Le directeur semble avoir assez confiance en lui pour lui remettre un tel document ? Il n’a pas vraiment tort. Ren peut être aussi muet et sourd qu’une tombe lorsqu’il le désire. N’ayant peur de rien, ni des représailles qu’il pourrait engendrer d’une de ses actions, il donne parfois l’impression d’être un garçon imbu de lui-même, aussi insensible qu’un glaçon. Tout ceci n’est pas bien loin de la réalité, puisque son cœur ne bat pratiquement plus pour quiconque. Lorsque votre enfance à laissé derrière vous, une impression horrible, limite amère dans la bouche, vous n’avez plus tendance à vous laisser aller aux battements de ce dit cœur qui a passé ses dernières années à se refermer sur lui-même et à ne plus battre, ni ressentir quoique ce soit, si ce n’est de se battre corps et âme pour atteindre l’objectif qu’il s’est fixé. Il est donc de nature méfiante, n’accordant sa confiance qu’à peu de personne, sans réellement le faire. Il est ce qu’on qualifie de garçon assez taciturne avec lequel on ne sait pas sur quel pied danser. Cette méfiance, il la ressent même envers le cadre enseignant et le fait qu’un pseudo professeur dont il ne connait même pas l’identité se présente à lui, réclamant le dit document qu’il garde pour le directeur, ça sent à ses narines comme un piège. S’il est professeur, il veut bien être prêtre. N’ayant reçu aucune directive directe du directeur et n’ayant aucune crainte des diverses représailles de cet homme, il se contenterait donc de le fixer froidement et indifféremment, avant de passer son chemin comme si de rien n’était en ajoutant. « Allez-vous plaindre au directeur dans ses conditions professeur. » Puis sans un mot, il prendrait bien soin de se rendre au bureau du directeur pour lui décrire cet inconnu qui en plus d’être un danger, à trouver le moyen de pénétrer l’école sans que personne ne le remarque. Problème de sécurité dans l’école ? Surement et en tant que directeur il devrait veiller à ce que ce genre d’accident ne se réitère pas. Imaginez que cet homme soit un mangemort ? Quel scandale.

5. Les nés moldus ? A vrai dire, il s’en préoccupe peu. Pour le jeune homme, ils ne sont pas bien différent de lui et ses parents ou sa famille n’a jamais eu d’apriori les concernant, donc il à un point de vue assez favorable à leur cause. Pour une cause bien précise, il est le genre de personne à croire qu’on ne né pas sorcier car ses parents le sont mais uniquement du à un gêne encore inconnu des deux mondes qui fait qu’on l’est. Pour certains, cette idée est peut être ridicule mais elle ne l’est pas de son point de vue. C’est pour cette raison que depuis son enfance, il se rend parfois dans les librairies moldues pour y trouver des documents, des livres qui traitent des gènes de l’être humain. Depuis des années, il cherche en vain de trouver ce fameux gène, cette fameuse cellule qui fait d’un sorcier ce qu’il est. Ainsi peut être qu’il pourrait enfin à son tour revivre ? Eprouver de nouveau ce sentiment de sentir battre son cœur dans sa poitrine et non ce mal être qui l’habite depuis des années ? En tout cas il l’espère et considère le savoir qu’on les moldus en ce qui concerne la médecine fascinant, admirant donc ces êtres avec respect. On peut donc dire officiellement qu’il s’en préoccupe peu mais si on creuse un peu plus loin au dessus de la surface, on peut découvrir que le jeune homme les respecte tout autant qu’il respecterait un né sang pur, tout simplement.

6. Qui est-il ? En toute franchise, il ne le sait pas lui-même. Telle une âme en peine, il navigue dans des eaux troubles sans pour autant savoir sur quelle rive accoster. Il est surement ce que les gens appellent un garçon insaisissable. D’un naturel calme, il est rare de le voir sourire, voir rire. Il a oubliait ce que cela était depuis longtemps, à partir du même jour où son cœur a été meurtri au point de renoncer à battre de nouveau pour lui faire comprendre qu’il était vivant. Passionné, il l’est sans que quiconque le sache réellement, la cachant superbement derrière cette apparence froide et nonchalante. Il n’est pas le genre de personne à montrer ses sentiments, il aurait même tendance à les garder en lui et les laisser exploser uniquement lorsqu’il se retrouve derrière un instrument. C’est pour cette raison qu’il ne joue jamais en public, car à ces moments il a l’impression de toucher du bout des doigts, l’enfant qu’il avait été un jour et qu’il a enfermé au fond de son âme pour ne plus jamais qu’il souffre. Chaque personne à un passé et il fait parti de ceux qui ont un fardeau peut être pas si dramatique mais assez difficile à supporter la charge. D’un naturel assez tolérant, il ne jugera jamais une personne sans la connaitre vraiment, dans le pire des cas, il la considérera comme insignifiante à ses yeux, dans le meilleur des cas, il prendra la patience de l’écouter parler, de se confesser à lui sans pour autant en faire de son côté. Au fond, le jeune homme à juste cesser d’être vivant préférant laisser le choix à chacun de faire sa propre idée sur sa personne. Après tout on ne peut pas plaire à tout le monde et même s’il on le désirait, il y a certaine chose qui malheureusement ne pourrait pas changer quoiqu’on y fasse. Alors pourquoi se battre en vain ? Autant continuer à trouver une solution plus rationnelle, qui pourrait peut être réparé l’erreur, l’acte dont on est jugé coupable, en attendant ce jour…