Annyeong ! je me nomme son hyun joo, je suis né un 8 juillet 1990, j'ai vingt ans et je suis de nationalité coréenne, ce qui fait que je suis actuellement en 6e année; la classe, n'est-ce pas ! Sinon, moi, je suis un sang mêlé et je suis hétérosexuel. Mon animal de compagnie, c'est un tamia rayé nommé barney et ma baguette mesure 22.5 cm, est en bois de noyer et contient une larme de phénix.. Tant que j'y suis, la maison à laquelle je souhaiterais être réparti est geobuk ? - par contre, je vous supplierais d'éviter ineo ou yongwang ! Et dans la vie, j'aimerais être éleveur d'animaux magiques ou fleuriste. Bon, c'est bien tout ça, mais si on passait aux choses sérieuses ?

n'incluez pas la question dans votre fiche, mais bien uniquement le chiffre de la question. c'est pour la netteté et la visibilité.

1. Je ne sais pas ! Voilà. Je n’ai jamais été doué pour réagir sur le coup, j’aurais plutôt tendance à rester planté au milieu, dominé par la peur, les yeux fixés sur les remous créés par les créatures hybrides. Je dois avouer que mon cerveau à tendance à effacer les données importantes en cas de situation de crise… imaginons une seconde que sois capable de sortir une personne de ce pétrin je n’hésiterais pas une seconde - après avoir dépassé l’envie de fuir (réflexe instinctif) ! Vous voyez, beaucoup de mes camarades ne se jetterait pas dans la gueule du loup pour un simple inconnu, pourtant, moi, je le ferais : qu’il s’agisse d’un ineo vaniteux et ignoble, ou d’un ami inestimable. Je ne dis pas que je serais en mesure de le sauver d’une mort quasi-certaine - je pourrais d’ailleurs en être l’auteur involontairement. Je veux dire que je n’ai jamais très bien visé, et je ne risque pas d’y voir grand-chose dans ce remu-ménage aquatique, puis il y aurait de grandes chances que je me fasse moi-même attraper si je prennais le risque de m’aventurer trop près du bord… disons que je lancerais divers sorts en espérant qu’ils atteignent uniquement les sirènes et non leur victime ! Avec un peu de chance, nous nous en sortirons tous deux indemnes ?!

2. choix b : Je pense que ma réponse les surprendrait mais je déclinerais l’invitation. Je n’ai jamais été un passionné de quidditch et cela m’offrirait un peu de calme, de solitude. Beaucoup ont l’air de pensé que je ne pourrais pas vivre seul, c’est pourtant ce à quoi j’aspire pour l’avenir. Enfin, pour être honnête, m’endormir en pleine révision n’a rien de nouveau pour moi, je tombe dans les bras de morphées un peu près n’importe quand, n’importe où, du moment que je me retrouve seul, pour éviter de trop penser. Concernant les chenapans qui ont l’idée de s’en prendre à mes notes - pas très complétes soit dit en passant - je ne suis pas un très bon exemple d’autorité, j’aurais plus tendance à leur demander de me les rendre gentiment plutôt que de les menacer et si la méthode douce ne fonctionne pas alors je tenterais le rôle du méchant pointant la baguette sur les bougres - et j’essuyerais un refus monumental ! Tout ça pour les laisser partir, fiers de leurs bétises… et peut être bien que je leur sauterais dessus par surprise afin qu’il me rende mon bien. Dans le pire des cas, je retournerais vaquer à mon occupation préférée : dormir.

3. Si je ne dors pas alors il y a un gros soucies, ou bien mes pensées moroses se sont jouées de moi et ont concentré toute mon énergie sur elles - ce qui arrive plus fréquemment qu’il n’y parait. J’aurais tendance à éviter les couloirs la nuit et me ranger dans un coin de la salle commune, pour justement éviter les malencontreuses rencontres de ce genre ! D’ordinaire je secouerais tendrement mon petit Barney afin qu’il m’accompagne et je partirais avec « audace » me promener dans l’enceinte de l’école, ma bestiole en éclaireur afin de me prévenir des dangers. Si par malheur je devais me retrouver face à face avec cette vieille peau je pense que… je lui sortirais l’excuse la moins valable possible « il se trouve que j’ai égaré mon animal de compagnie. » n’oublions pas qu’il campe les ¾ du temps sur mon épaule et qu’il n’est pas le plus discret des tamias - une copie animal de son maître. Après une discussion qui s’annonçait mal parti, je m’excuserais en bonne et due forme. Après tout, je ne suis pas un élève à problème dans cette académie, elle ne devrait pas être trop sévère ?

4. Dilemme. L’offre de ce « professeur » me semble particulièrement alléchante… réussir le prochain examen serait d’une aide considérable - je ne brille pas par mes résultats scolaires. Je ne sais pas trop, j’hésite. Je ne veux pas vendre mon âme au diable tout comme je refuse de me coltiner trois mois de retenues. Indécis - comme toujours -, j’accepterais de montrer un extrait, un tout petit. Je peux être adorable, tout le patatra, toutefois je n’ai jamais été doté d’un courage à toute épreuve ! Si cela me permet de me sauver de mes angoisses inutiles alors, ok ! Le directeur n’en aura très certainement jamais connaissance ! Dans tous les cas, si cet individu est un étranger et que cette histoire en vient aux oreilles du directeur, je… fuirais ? Je n’aime pas particulièrement les remontrances, même si je suis coupable à cent pour cent. Bien sûr je me ferais certainement attaprer et enguirlander dans les régles de l’art, je me chopperais un avertissement… et sentirait le poid de ma trahison sur le dos, ce qui me forcerait fortement à ne pas réitérer.

5. Ma mère est moldu et une femme formidable ! Je sais qu’ils ne le sont pas tous, mais un sorcier né de parents moldus a autant de chance d’être mal perçu du coté moldu que sorcier, et c’est bien plus difficile. Mal accepté par une grande partie de ma famille et amis moldus, je sais à quel point se sentir rejeter est douloureux, mais un « sang de bourbe » est un sorcier comme les autres ! Je ne porte de jugement particulier sur la classe d'origine de chacun mais je peux comprendre que l’acceptation puisse être difficile lorsque l’on nous élève dans l’esprit de dénigrement moldu ou sorcier. Enfin tout ça pour dire, l’origine d’un sorcier m’importe peu.

6. On l’aime pour sa gentillesse, son sourire et ses rires quotidiens, comme on le dénigre pour cet air naïf qu’il arbore la plus part du temps. On lui en veut pour sa lâcheté légendaire et son manque de jugeote, toutefois on lui pardonne pour sa sincérité. Mais Hyun Joo c’est bien plus que ce joyeux luron, ou ce trouillard incapable de braver l’inconnu. Il se sait mauvais dans la plus part des matières, plutôt doué en botanique ou soin aux animaux magique cependant, Hyun Joo est implacable avec lui-même, certains pensent qu’il supporte bien ces échecs scolaires : ce qui est faux. Il se force à l’accepter, sans jamais vraiment y arriver. Il faut dire qu’il n’est pas l’élève le plus studieux ou sérieux. . Il est beaucoup plus solitaire qu’il n’y paraît, il y a des jours où la foule d’Akiwa lui semble insupportable. C’est un moulin à paroles pour éviter de parler de lui, demander à n’importe qui : personne ne sait ce qu’il se trame dans sa petite tête. Le garçon souffre d’un terrible manque de confiance en lui, il n’aime pas s’attacher par peur d’abandon - sa plus grande crainte à ce jour - ayant mal supporté de s’être fait traîné dans la boue - au sens propre -, trahi et lâché par ses anciens « proches » moldus. Il pensait pouvoir vivre plus tranquillement à Akiwa avant de se rendre compte que les sorciers étaient tous aussi durs que les moldus entre eux. Il est à ce jour la victime de troubles de l’anxiété, et d’un probable début de dépression, qu’il pallit à l’aide de calmant. Il se sent obligé d’en prendre chaque jour, afin d’éviter les crises de panique, ou les crises tout court. Autrement il se ronge les ongles. Peu de personnes, voir aucune, sont au courant du mal être du garçon, qu’il cache volontairement pour ne pas paraître plus faible et vulnérable qu’il ne l’est déjà. D’ailleurs, quand il en sent le besoin il préfère rester en compagnie de quelques « amis » pour se libérer l’esprit, rire un bon coup ou dormir, sport qu’il pratique régulièrement et avec assiduité. C’est un peureux, il n’y peu rien, il a peur de tout, et de rien. Il est aussi susceptible aux remarques et y est particulièrement sensible.
Ce n’est pas un mauvais bougre, au contraire, il est adorable, attentionné et à l’écoute, juste un peu distant dans ses propos, maladroit dans ses actes - surtout en compagnie de la gente féminine - et tête en l‘air. Il aimerait pouvoir croquer la vie à pleine dents sans se soucier du reste, de l’avenir, des conséquences, accepter, mais il espére pouvoir retrouver la fraîcheur qui le caractérisant tant à son arrivée à l’académie. Aujourd’hui il est beaucoup trop calme, en apparence. Il ne demande qu’à vivre après tout, juste vivre.